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1.
Règle générale
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La règle générale est de
signaler systématiquement dans le texte, l'auteur et
la date de chaque document cité.
Comme tous les documents cités
dans le texte doivent ABSOLUMENT se retrouver dans
la liste des références en fin de texte, cette clef AUTEUR+DATE
permettra sans équivoque de toujours retrouver la référence complète
d'un document cité.
Cette citation peut se faire de
trois manières différentes :
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Entre parenthèses : nom de l'auteur
et année de publication séparés par une
virgule :
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... une tendance nette (Dupont,
2003) ...
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Nom de l'auteur
dans le texte et année de publication entre
parenthèses :
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Comme Dupont (2003) le fait
remarquer ...
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−
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Nom de l'auteur et année de
publication directement dans le texte :
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En 2003, Dupont faisait
remarquer ...
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Attention!
Dans un même paragraphe, on ne
répète pas la date s'il est clair qu'on fait référence au même travail.
La règle générale est de ne
citer QUE le nom des auteurs et pas leurs prénoms.
Cependant, si des ouvrages différents ont comme unique ou premier auteur
des personnes ayant le même nom de famille, il faut ajouter leurs initiales respectives
dans TOUS les renvois où ils figurent comme unique ou premier auteur, même si
les années de publication diffèrent.
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S. Freud (1928) affirmait
que (...), alors que pour A. Freud (1949) ...
Dans une des premières
études sur la question (S. Freud, 1928) ...
Après deux décennies, une
autre voie a été ouverte (A. Freud, 1949) avec l'introduction de la
notion de ...
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2. Plusieurs auteurs
Deux auteurs
A chaque fois, citer les deux
noms (si on place les deux noms dans la parenthèse, il faut les séparer
par « et »).
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Brown et Dolby (1995) ont
montré que ...
Une équipe américaine
(Brown et Dolby, 1995) a plutôt ...
En 1995, Brown et Dolby
proposaient ...
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Trois à cinq auteurs
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−
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À la première occurrence, citer
TOUS les auteurs
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Buster, Magain et Dolby
(1987) estiment ...
D'autres auteurs (Buster,
Magain et Dolby, 1987) ont ...
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−
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Ensuite, UNIQUEMENT
le nom du premier auteur suivi de « et al. »
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... ont critiqué la méthodologie
de Buster et al. (1987).
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Une seule
exception :
Selon la règle précédente, il
peut arriver que deux références différentes de la même année
seraient abrégées de la même manière.
Dans ce cas, citer autant
d'auteurs que nécessaire pour permettre de lever l'ambiguïté, suivis
d'une virgule, puis de « et al. »
s'ils n'ont pas tous été cités.
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... Dupont, James, Brown et
al. (1984) ainsi que Dupont, James, Bradner et al.
(1984) ont ...
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Six auteurs ou plus
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−
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Dès la première occurrence,
citer UNIQUEMENT le nom du premier auteur suivi de
« et al. »
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−
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Une seule
exception :
S'il y a confusion possible
entre deux références (premier auteur identique ET
année identique), citer AUTANT d'auteurs que
nécessaire pour lever l'ambiguïté, suivis de « et
al. »
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Cas particulier
Si deux auteurs ou plus ont le même nom de famille, on répète simplement ce nom
sans ajouter les initiales.
(Lafleur et Lafleur, 2007)
(Lafleur, Chartier et Lafleur, 2008)
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Cependant, la règle énoncée précédemment,
concernant la présence de plus d'une référence dont l'auteur unique ou premier porte le
même nom de famille, s'applique ici, mais au premier auteur seulement : on ajoute
alors les initiales de son prénom. Le but poursuivi ici est de faciliter le repérage des
notices dans la liste des références.
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Une première étude (F. Smith, LaRue et Smith, 2007) suggérait que ...
Cependant, des travaux récents
(G. Smith, 2015) ont remis en question cette interprétation ...
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3. L'auteur est une
association
Deux
cas possibles
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−
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S'il n'existe pas d'abréviation
courante et bien connue :
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•
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la première fois, donner le nom
entier suivi de l'abréviation entre parenthèses (ou entre crochets, si
l'abréviation est déjà à l'intérieur de parenthèses) :
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−
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S'il existe une abréviation
courante,
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•
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la première fois, donner le nom
entier suivi de l'abréviation entre parenthèses (ou entre crochets, si
l'abréviation est déjà entre parenthèses) :
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Une équipe de chercheurs
du National Institute of Mental Health (NIMH, 1987) a été la première à
...
Une première étude sur le
sujet (National Institute of Mental Health [NIMH], 1987) a démontré ...
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•
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ensuite, indiquer uniquement
l'abréviation :
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Une étude subséquente
plus approfondie (NIMH, 1995) a conduit ....
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4.
Il n'y a pas d'auteur (ex. entrée de dictionnaire)
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Bien que cela soit assez rare,
il peut arriver que le document ne comporte aucun auteur, pas même une
association agissant en tant qu'auteur. Il s'agit alors d'un véritable
document anonyme.
Mentionnons aussi le cas des
dictionnaires et, parfois, des encyclopédies, dont les entrées ou les
articles individuels ne sont pas signés.
Dans ces cas, il suffit de
citer le mot (pour un dictionnaire) ou les deux ou trois premiers mots
du titre :
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−
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entre guillemets
pour un mot (référence à une entrée de dictionnaire) ou un titre
d'article ou de chapitre :
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Selon sa définition première («
Rationalité », 2010), ce terme renvoie à ...
Une autre recherche (« Le lien entre », 2008) conclut
que ...
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en italiques
pour un titre d'ouvrage ou un nom de périodique :
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Dans La fin de la
propriété intellectuelle (2010), on présente ...
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5.
Document non daté et(ou) avec date de mise à jour
Si le document ne comporte
aucune date de création ni (pour un document en ligne) de mise à jour,
on indique « n.d. ».
Par ailleurs, les documents en
ligne peuvent comporter deux dates : la date de création et la
date de mise à jour. Ces dates peuvent en outre inclure le mois et le
jour.
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S'il n'y a qu'une seule date
(création ou mise à jour), on indique seulement cette année-là.
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−
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S'il y a une date de création
et une date de mise à jour, on indique l'année de création.
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(Lemire, n.d.; voir aussi
Bélanger, 2007; Hébert, n.d.)
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6.
Traduction d'un ouvrage original
Si le document consulté et(ou)
cité est une traduction d'un ouvrage original, on indique la date de parution
de la traduction que l'on a consultée. Toutefois, si la traduction est beaucoup plus récente que l'original, on la fait
précéder de la date de parution de l'orginal, suivie d'une barre oblique, « / ».
Par exemple, pour un ouvrage
paru en 1963 mais dont on consulte une traduction datée de 1994, on écrit :
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Dans un ouvrage qui a marqué le
domaine, Schön (1963/1994) remettait en question ...
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7. Renvoi à plusieurs
références
Régulièrement, on doit faire
référence à plusieurs travaux pour appuyer un argument du texte. Dans
ce cas, il faut :
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citer les différents travaux
dans l'ordre dans lequel les notices apparaissent dans la liste des
références, c'est-à-dire dans l'ordre alphabétique (et NON l'ordre
chronologique);
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−
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séparer les différents travaux
par un point virgule.
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Si l'on cite différents travaux
d'un même auteur ou groupe d'auteurs, ne pas répéter le ou les noms,
mais séparer les dates de ces différents travaux par une virgule.
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Plusieurs études (Dorrow et
O'Neal, 1979; Murray, 1970, 1985; Smith et al.,
1990, 1994a, 1994b, sous presse) suggèrent que ..
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Cas particulier
Si on s'appuie plus
particulièrement sur une de ces références, on considère alors qu'il
s'agit d'une référence principale.
Dans ce cas, on peut citer en
premier lieu la référence principale, sans égard à l'ordre dans la
liste de références, suivie d'un « ; »
puis de « voir aussi » et des
autres références dans l'ordre normal, séparées par des « ; ».
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(Durand, 1994; voir aussi
Albert, 1991; Williams, 1985)
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8. Référence
secondaire
Très souvent, un document
scientifique fait référence à d'autres travaux. Il s'agit d'ailleurs là
d'une des caractéristiques essentielles des travaux scientifiques.
C'est ce qu'on appelle le tissu scientifique.
Il peut arriver que l'on
souhaite faire référence à un de ces travaux cité lui-même dans le
document qu'on a en main.
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−
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Idéalement, il convient de ne
pas se contenter de ce qu'en dit un autre auteur (qui a peut-être mal
compris ou mal interprété le document original), mais de lire
le document original afin d'être sûr de ce qui y est dit.
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−
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Si ce n'est pas possible, il
faut faire clairement apparaître que ce qu'on a lu, ce n'est pas le
document original (appelé document primaire). C'est
ce qu'on appelle un document (ou référence) secondaire.
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Dans ce cas, indiquer le nom de
l'auteur du document primaire et, entre parenthèses, « cité
par » (ou « cités par ») et le nom de l'auteur (ou des auteurs) du document secondaire.
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En 2007, Durand (cité par
Dupont, 2014) proposait que ...
Une nouvelle perspective
(Durand et Brown, 2005, cités par Dupont, 2015) a alors été mise de
l'avant ...
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Par ailleurs, il existe depuis
la 4e édition des normes APA une règle
particulière, qui permet d'inclure dans la liste des
références des ouvrages non cités dans le texte, mais cités dans des
méta-analyses.
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9. Renvoi à une partie
spécifique de la référence (ex. extrait cité)
Il peut arriver que l'on souhaite faire référence à un élément particulier d'un document, comme
par exemple un chapitre, une section, une page, un tableau, un graphique, afin de permettre au lecteur de retrouver rapidement l'information pertinente.
Cela est particulièrement important pour un extrait cité, où l'on indique la page ou, si c'est impossible (pour un document en ligne, par exemple), le numéro de section ou de paragraphe.
On ajoute cette information dans la
parenthèse, juste après la date, en la séparant par une virgule et en
abrégeant les mots « page » (p.), « chapitre » (chap.), et « paragraphe » (paragr.).
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(Smith, 1995, figure 4)
(Dustin et Bred, 1988, p. 10)
(Winmorth, 1987, chap. 3)
(Hébert, Simard et Roy, 2016, paragr. 26)
(Brisson, 2002, section Analyse)
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Attention! Lorsqu'on
cite textuellement un auteur, il faut TOUJOURS
mettre l'extrait soit entre guillemets, s'il contient moins de
40 mots :
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Le privilège français restait
cependant profondément arbitraire : « une grâce
essentiellement révocable entre les mains du libraire » (Falk,
1937/1970, p. 166). Cela n'empêcha pas ...
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soit en retrait, s'il est plus
long. Dans les deux cas, ou place le renvoi à la fin. Celui-ci peut
être un renvoi complet, comme ci-dessus, ou encore mentionner seulement
la partie du texte d'où provient l'extrait, si un renvoi à l'ouvrage est
fourni avant l'extrait :
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Foucault (2008) fournit
une explication intéressante de la situation. Selon lui, vers le XVIIe
ou le XVIIIe siècle :
... on a commencé à
recevoir les discours scientifiques pour eux-mêmes, dans l'anonymat
d'une vérité établie ou toujours à nouveau démontrable; c'est leur
appartenance à un ensemble systématique qui leur donne garantie, et non
point la référence à l'individu qui les a produits. (p. 828)
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10.
Renvoi à un site web complet
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Lorsqu'on désire faire
référence à un site complet plutôt qu'à un document ou à une section
bien définie d'un site (avec titre et, le cas échéant, auteur), on
indique simplement dans la parenthèse l'adresse URL complète du site.
Note. On peut
omettre le préfixe «
http://
», et même « http://www.
» si la partie « www
», comme cela arrive souvent, n'est pas nécessaire pour accéder au
site.
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Le groupe a mis en place un site
très riche (http://www.adresse-du-site.ca) visant précisément cet
objectif.
L'Université du Québec à Montréal a mis en ligne en 2007 son répertoire
institutionnel de publications scientifiques Archipel (archipel.uqam.ca)...
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Dans ce cas, on n'inclut
pas le site dans la liste des références. Cette situation et
la suivante sont les seules où un renvoi dans le texte ne correspond
pas à une entrée dans la liste de références.
Note
Il existe une zone grise entre
ce qui constitue un site complet et un
document en ligne, quand un tel document est scindé en pages distinctes
accessibles à l'aide d'un dispositif de navigation (hyperliens,
boutons, menus). Si l'on décide de considérer l'ouvrage comme un
document et non un site, les règles habituelles s'appliquent; on doit
alors retrouver une notice complète dans la liste des références.
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11. Renvoi à
des discussions personnelles
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Il peut arriver que l'on
souhaite faire référence à une information qui n'est pas publiée mais
que l'on a obtenue au cours d'une discussion personnelle (lettre,
courriel, conversation, ...).
Dans ce cas, on ne peut
évidemment s'approprier cette information. Il convient de la rapporter
à son véritable auteur en indiquant dans un renvoi les initiales de son
prénom, son nom, la mention « communication
personnelle », puis la date, aussi précise que
possible.
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(J. A. Rondal, communication
personnelle, 21 février 1990)
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Attention!
Comme il ne s'agit pas d'un document pouvant être retrouvé par le
lecteur, il ne faut pas l'ajouter à la liste des références en fin de
texte.
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12. Mention d'un logiciel
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On indique simplement le nom du logiciel (pas en italique) suivi, lorsque cela peut être utile dans le contexte, du numéro de version entre parenthèses.
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... le fureteur Firefox (version 43.0)...
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Note. Le logiciel doit figurer dans la liste des références (avec les informations requises), sauf s'il s'agit d'un logiciel très connu et largement utilisé, tels Microsoft Word ou Firefox.
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[ début ]
Mise à jour : 12 mars 2020.
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